Pass Prépa BAC – Terminale Santé // Études de Santé
Le Pass Prépa BAC – Terminale Santé en résumé
Cours - Pass Prépa BAC – Terminale Santé
S’orienter dans des voies d’excellence et notamment vers le milieu médical et scientifique.
Les études en Pass Prépa BAC – Terminale Santé
Programme et formation
Option licence 1 santé
2 Objectifs :
1. Réussir son Bac type Scientifique avec Mention
2. Préparer son entrée en Licence 1 Santé
Cette préparation est destinée aux élèves de Terminale Scientifique qui souhaitent s’orienter dans des voies d’excellence et notamment vers le milieu médical et scientifique.
Cette formation permet également de préparer un bon dossier scolaire en vue des filières sélectives et d’obtenir une mention au Baccalauréat Scientifique.
Comme un sportif avant une compétition, le bac et les études post-bac en général exigent une très forte envie de travailler et de se dépasser.
Motivation, travail et organisation semblent les trois mots clés que les nouveaux inscrits en Licence 1 Sciences pour le Santé doivent retenir en priorité.
Il faut passer le cap nécessaire et difficile de la Licence 1 Santé. Le nombre de places accessibles en deuxième année est en effet limité et défini par le ministère de la Santé.
Pour franchir ce cap, il ne suffit donc pas d’être bon. Il faut aussi se classer en tête de liste. Selon les facultés, seuls 10 à 15 % des étudiants passent en deuxième année !
La première année est commune à l’ensemble des étudiants et prépare à cinq spécialisations : médecine, dentaire, pharmacie, maïeutique et métiers de la rééducation.
Mieux préparé en Terminale, l’élève augmente considérablement ses chances de réussite dans des filières extrêmement sélectives.
La sélection en Licence de Santé prouve que seuls les élèves ayant obtenu de bons résultats en Terminale ou une mention au Baccalauréat peuvent envisager de réussir leur 1re année de Licence Santé dès la 1re année.
Horizon vous propose un programme sur mesure et vous accompagne pendant l’année de Terminale.
HORIZON ne propose pas de validations partielles de ses certifications par bloc de compétences.
OBJECTIF « MENTION AU BAC »
Consolider ses acquis et s’entraîner en vue de l’obtention du Baccalauréat avec mention.
La préparation repose sur des cours structurés et détaillés, en Mathématiques, Physique – Chimie, SVT.
La séance se termine par des séries d’exercices. Ceuxci permettent de traiter des sujets types. Les exercices sont toujours accompagnés de leur correction détaillée, en fonction de la difficulté des exercices traités.
- Réviser avec efficacité le programme scientifique pour le Bac Scientifique
- Maîtriser les thèmes scientifiques fondamentaux de Terminale
- Optimiser la méthodologie pour préparer un examen
- S’entraîner sur des exercices
Horaire des cours
Les cours sont dispensés pendant les vacances de Toussaint, Printemps et Pâques.
Intervenants :
Mme Slaviça RAMI – Physiques – 10 heures
M. Stéphane MORVILLE – Chimie – 10 heures
M. Mathieu SCHWARTZ – Maths – 10 heures
Les débouchés, les métiers
Médecin généraliste
Bronchites, entorses, gastro-entérites, fatigue… le médecin généraliste soigne tous les maux. Dans son cabinet ou en visite à domicile, il reçoit des personnes de tous âges, des enfants aux personnes âgées. Son premier rôle est d’établir un diagnostic. Il écoute le malade et l’interroge sur ses symptômes.
Le bilan terminé, il prescrit les médicaments adaptés et explique comment suivre le traitement. En cas de doute, il demande des examens complémentaires (analyses de sang, radiographies…) pour affiner son diagnostic.
Les médecins généralistes ont le choix entre deux formules pour exercer leur métier. En majorité, ils choisissent de s’installer à leur compte : 70 % d’entre eux ouvrent ou reprennent un cabinet. Ils peuvent aussi être salariés en travaillant dans les hôpitaux (16 % d’entre eux), les administrations ou les collectivités territoriales, après avoir réussi un concours sur titre.
Dentiste
Le dentiste (Odontologie) soigne les dents, les gencives et les mâchoires. Il pose un diagnostic, effectue des radiographies, réalise les soins, prescrit des médicaments.
Chirurgien-dentiste, il peut extraire des dents de sagesse, consolider des dents avec des couronnes, poser des prothèses complètes… Un travail de précision qui ne doit occasionner aucune gêne pour le patient.
Ce professionnel peut mener des interventions chirurgicales importantes et délicates, directement dans son cabinet ou à l’hôpital. Par exemple, il peut réparer une fracture de la mâchoire, réaliser une greffe osseuse ou de gencive lorsque les dents se déchaussent…
Donner des conseils en matière d’hygiène buccodentaire ou d’alimentation fait aussi partie du rôle du chirurgien-dentiste. On peut s’adresser à lui en prévention, pour des visites de contrôle ou pour effectuer un détartrage destiné à diminuer les risques de problèmes dentaires.
Si la plupart des chirurgiens-dentistes exercent en libéral (en tant qu’indépendants), ils peuvent travailler dans un hôpital ou une clinique privée. En particulier pour pratiquer des opérations difficiles à réaliser dans un cabinet. L’inscription à l’ordre national des chirurgiens-dentistes est obligatoire pour exercer.
L’emploi du temps du chirurgien-dentiste est variable en fonction de son lieu d’exercice. Mais, dans tous les cas, ses horaires sont tardifs et ses consultations s’étendent très souvent du lundi au samedi. Si le cabinet lui appartient, il assume également les tâches de gestion administrative.
Pharmacien
Professionnel de la santé, le pharmacien peut exercer différents métiers suivant sa spécialité. Dans une pharmacie (appelée « officine »), il délivre les médicaments, sur ordonnance ou en vente libre. Son rôle de conseil est important, car on ne vend pas des médicaments n’importe comment ! Attentif au bon usage des produits, il vérifie chaque prescription médicale : conformité des doses en fonction de l’âge du malade, compatibilité entre les produits, risques d’allergies…
Relais entre le médecin et le patient, il explique la façon de prendre un traitement et les indications à respecter. Éternuements, mal de tête ou toux : c’est aussi à lui que l’on s’adresse en cas de pathologie légère. Outre le conseil et la vente, il achète les produits, gère les stocks et, quand il est le patron de l’officine, tient sa comptabilité et surveille son chiffre d’affaires.
Le praticien ne se contente pas de guérir toutes sortes de maladies. La prévention fait aussi partie de son rôle. Bilan de santé, dépistage, suivi des vaccinations : il prend en charge la santé du patient dans son ensemble.
Sage-femme
La sage-femme (Maïeutique) suit les femmes enceintes tout au long de leur grossesse. Examens, échographies, dépistage des facteurs de risques… sont assurés par cette spécialiste de la maternité.
L’accompagnement psychologique des futures mères fait également partie de ses attributions. Elle assure les séances de préparation à l’accouchement.
La sage-femme pratique les accouchements en toute autonomie, ou avec un médecin. Elle surveille, pas à pas, l’évolution du « travail » jusqu’à la naissance.
Si un risque se révèle ou qu’une césarienne est à prévoir, elle fait appel au gynécologue obstétricien ou au chirurgien. Après l’accouchement, elle examine le nouveau-né, contrôle ses réflexes et sa bonne santé.
Durant les jours qui suivent l’accouchement, elle prodigue les soins nécessaires à la mère et surveille son rétablissement. À la sortie de la maternité, la sagefemme peut aussi rendre visite à la jeune maman chez elle. Enfin, quelques semaines après la naissance, elle assure les séances de rééducation postnatale.
La sage-femme exerce une profession médicale. Sur prescription d’un médecin, elle assure, en toute autonomie, les suivis des grossesses, en cabinet ou à domicile. Elle prescrit les examens et médicaments nécessaires au bon déroulement de la grossesse, de l’accouchement et des suites de couches.
L’ergothérapeute
Manger, s’habiller, se déplacer seul… ces actes de la vie quotidienne peuvent poser des difficultés insurmontables après un accident ou à la suite d’un traumatisme psychologique (agression, maltraitance…). Les enfants et les adultes souffrant d’un handicap moteur ou psychique travaillent alors avec un ergothérapeute afin d’acquérir ou de retrouver une autonomie dans leur vie sociale, professionnelle et familiale.
Dans un premier temps, afin de proposer une aide adaptée au patient, l’ergothérapeute analyse la nature de son handicap, effectue un bilan de ses capacités gestuelles (rapidité, précision des mouvements…) et un bilan d’autonomie (s’habiller, se déplacer, s’alimenter…).
Il détermine également l’aide extérieure dont la personne peut bénéficier et comment se présente son environnement matériel et architectural (le mobilier, les sanitaires…).
À partir de ces bilans, il définit un projet d’intervention adapté. Il peut ainsi utiliser, pour la rééducation de la personne handicapée, des situations de la vie quotidienne, par exemple faire la cuisine et le ménage en fauteuil roulant, ouvrir les portes… Il lui donne des conseils pour aménager l’espace et disposer le mobilier, afin de faciliter les déplacements, et pour mettre en place des appareillages qui favorisent l’autonomie.
Dans le cadre de la rééducation, l’ergothérapeute utilise également les activités artistiques et manuelles comme la poterie, la menuiserie, le dessin, la danse ou même l’informatique.
L’ergothérapeute travaille avec des personnes souffrant de handicaps physiques ou mentaux : enfants, adultes, personnes âgées. Il intervient sur prescription médicale au sein d’équipes interdisciplinaires dans les services de neurologie, traumatologie, rhumatologie, psychiatrie ou pédiatrie des hôpitaux, ainsi que dans les centres de rééducation et de réadaptation, les centres de post-cure et les établissements accueillant des personnes âgées.
Son activité s’exerce en étroite collaboration avec d’autres membres des professions médicales (médecins, infirmiers…) et paramédicales (masseurs-kinésithérapeutes, orthophonistes…). Les horaires sont généralement réguliers et en journée. Actuellement, très peu d’ergothérapeutes exercent en libéral. Les actes d’ergothérapie ne font pas encore l’objet d’un remboursement par la Sécurité sociale. La grande majorité des débouchés concernent des postes salariés, dans les secteurs privé et public : centres de soins hospitaliers, cliniques, centres de rééducation et de réadaptation, et, dans une moindre mesure, centres de post-cure ou accueillant des personnes âgées.
Le psychomotricien
Le psychomotricien intervient pour aider les personnes souffrant de différents troubles psychomoteurs : tics nerveux, agressivité, manque de tonus, difficultés d’attention, problèmes pour se repérer dans l’espace ou dans le temps… Son objectif : leur permettre de se réapproprier leur corps, d’apprendre à l’utiliser pour mieux communiquer.
Tout d’abord, ce spécialiste évalue les capacités psychomotrices de son patient et tente d’analyser les causes de ses difficultés (un enfant a pu subir des violences ou un traumatisme psychologique expliquant ses problèmes). Les techniques utilisées pendant les séances s’adaptent à chaque personne.
Pour les enfants, le psychomotricien peut choisir des jeux de ballon ou de cerceau, de la pâte à modeler, des chansons, de la danse, de la relaxation pour les plus anxieux.
Pour les personnes âgées, il s’agira plutôt de faire travailler l’équilibre et la mémoire. Chaque séance, individuelle ou collective, vise à réconcilier le patient avec son corps, et à lui faire retrouver une aisance gestuelle et une sensation de bien-être physique.
Pour être efficace, le psychomotricien travaille en collaboration avec d’autres professionnels de la santé : le médecin psychiatre, le psychologue, l’équipe de rééducation (masseur-kinésithérapeute, orthophoniste, ergothérapeute…), l’infirmière, la puéricultrice, les éducateurs.
Ce métier s’exerce principalement en tant que salarié, dans les centres spécialisés (centres de rééducation et de réadaptation, centres médico-psychopédagogiques), les maisons de retraite, les centres d’aide par le travail, les services de psychiatrie, de pédiatrie, de neurologie et de gériatrie des hôpitaux publics et privés…
Les horaires de travail sont réguliers et de jour. Les possibilités d’exercer en libéral, en cabinet privé, restent limitées, car les actes des psychomotriciens ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale.
Cette profession est encore jeune : quinze ans à peine ! On compte actuellement environ 5 400 professionnels.
Le nombre de jeunes formés est limité par un numerus clausus (375 places au total au concours d’entrée en première année pour la rentrée 2004) pour assurer un emploi aux débutants. Généralement, les psychomotriciens travaillent pour plusieurs employeurs : par exemple, en assurant deux mi-temps dans un service hospitalier et un centre spécialisé, un centre médico-psychopédagogique et une maison de retraite…
L’ouverture d’un cabinet privé, seul ou en association, est possible, mais 1 % seulement des professionnels en exercice ont choisi d’exercer en libéral.
Le masseur-kinésithérapeute
Le masseur-kinésithérapeute intervient souvent à la suite d’une entorse, d’une scoliose, de difficultés respiratoires… D’abord, il étudie le dossier médical (radiographies, ordonnances du médecin référent…) du patient et pratique un examen clinique pour définir les méthodes et les moyens à mettre en oeuvre. Le kiné fait ensuite appel à de nombreuses techniques : massages répétés sur une zone douloureuse, mouvements de gymnastique à l’aide d’appareils, de poids… Il peut aussi utiliser l’eau (les séances se déroulent alors dans une piscine), la chaleur ou les ultrasons.
Sur prescription médicale, le kiné peut réaliser des bilans de capacité. Il intervient parfois, sans prescription médicale, dans le domaine sportif (remise en forme, relaxation, massage…) ou esthétique (exercices de relaxation pour le visage par exemple).
80 % des masseurs-kinésithérapeutes exercent à titre libéral dans un cabinet (selon une enquête de 2008).
Leur emploi du temps s’adapte aux disponibilités de leurs patients, les horaires sont donc souvent décalés : tard le soir, tôt le matin avant les heures de bureau…
Processus d’admission
Pour une rentrée en septembre ou en octobre selon les formations, le processus d’admission des candidats se fait en 4 étapes :
- Dépôt d’un dossier de candidature par l’étudiant
- Examen du dossier dans un délai d’une semaine par un conseiller en formation, information du candidat sur la recevabilité de sa candidature.
- Pour les candidatures retenues, convocation dans un délai de 15 jours pour un entretien de motivation et test de positionnement selon la formation visée.
- Réponse de la commission d’admission sous 48 heures avec envoi du contrat d’inscription ou de la convention de formation pour les candidats retenus.
Notre méthode
Un processus ayant fait ses preuves que nous mettons en œuvre pour garantir la satisfaction de chacun de nos étudiants.